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RechercherDerniers commentairesmoi je trouve pierre fresnay extremement touchant dans le role de monsieur vincent je ne suis pas de votre avi
Par Anonyme, le 13.06.2013
très intéressant et très rare de lire sur monsieur vincent.hélas je l'ai vu il y a si longtemps que je ne sais
Par Eeguab, le 18.11.2012
dommage, les classiques ne sont plus diffusés à la télévision. ah... le cinéma de minuit...http: //drkaroloth.
Par drkaroloth, le 26.10.2012
bonjour, j'aime beaucoup ton blog , il et très joli blog, très sympa, et très accueillant surtout, plein de bo
Par robert87300, le 01.11.2011
un film bouleversant en marge des réalisations de blake edwards ( à qui le festival de deauville rend hommage
Par stubs, le 03.09.2011
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Dernière mise à jour :
06.11.2025
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V- OTTO PREMINGER (19) UN AUTEUR-UNE ŒUVRE : LA TREIZIEME LETTRE 1951
Disons le d’office le film s’inspire plus du film de Clouzot que du roman de Louis Chavance et porte dès lors bel et bien le titre de remake sinon nous aurions parlé d’adaptation nouvelle.
Dès lors nous retrouvons certes les mêmes personnages moins édulcorés, un changement d’époque – et cela à son importance « Le corbeau » de Clouzot fut tournée donc en France, en 1943 et produit étonnamment par une firme allemande – cette version au demeurant moins brillante se déroule au Québec et non pas aux USA ; est ce une censure ou pour une raison économique
Dans cette région, le docteur Laurent,( Charles Boyer ) de retour d'une convention médicale à Montréal est témoin d’une avalanche de lettres calomnieuses et criminelles désignant le docteur Pearson (Michael Rennie ) comme l’amant de sa femme Cora (Constance Smith ) qui, il est vrai est attirée par lui qui préfère Denise Turner (Linda Darnell ) la fille de son propriétaire. La suite est identique la psychose va s’installer dans ce village rural au fin fond du Québec, suicide du fils de Me Gauthier (Françoise Rosay ) , culpabilité, angoisses , peurs vont amener les uns et les autres à se suspecter. Le final est identique jusqu’au plan près.
Il est difficile de discerner dans un film impersonnel de Preminger sa patte pourtant présente (l’art d’accompagner ses personnages lors de leur arrivée relève du virtuose et sera tout aussi maitrisé et expressif que celles de Tom Tryon dans le cardinal ou Keir Dulléa dans « Bunn’y Lake a disparu » ) ses thèmes de prédilection ( deuxième chance ou renaissance sont esquivés et l’interprétation on ne peut plus inégale. Linda Darnell dans un rôle effacé semble lointaine, Michael Rennie peu crédible avec son personnage trop lisse, de façon surprenante ce sont les deux acteurs français qui impressionnent le plus , non pas parce qu’ils sont le vecteur du film mais parce que les plus emblématiques : Charles Boyer avec un accent à couper et la généreuse Françoise Rosay joue toujours aussi juste.
On peut préférer les polars de Preminger et ses grandes fresques à ce produit décevant de la part d’un cinéaste qui venait de signer le superbe Mark Dixon, détective (Where the Sidewalk Ends) 1950 :
Dommage, les classiques ne sont plus diffusés à la télévision. Ah... le cinéma de minuit...http://drkaroloth.centerblog.net
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