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RechercherDerniers commentairesmoi je trouve pierre fresnay extremement touchant dans le role de monsieur vincent je ne suis pas de votre avi
Par Anonyme, le 13.06.2013
très intéressant et très rare de lire sur monsieur vincent.hélas je l'ai vu il y a si longtemps que je ne sais
Par Eeguab, le 18.11.2012
dommage, les classiques ne sont plus diffusés à la télévision. ah... le cinéma de minuit...http: //drkaroloth.
Par drkaroloth, le 26.10.2012
bonjour, j'aime beaucoup ton blog , il et très joli blog, très sympa, et très accueillant surtout, plein de bo
Par robert87300, le 01.11.2011
un film bouleversant en marge des réalisations de blake edwards ( à qui le festival de deauville rend hommage
Par stubs, le 03.09.2011
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13.12.2025
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Sur l'Adamant
de Nicolas Philibert France-Japon 2023
Le DVD du documentaire sortie Novembre 2025
Bonus DVD 1 : chez BLAQ OUT
Entretien avec Nicolas Philibert (23 min)
Bonus DVD 2 :
Nicolas Philibert, hasard et nécessité, un film de Jean-Louis Comolli (2019, 1h30)
Livret de l'AFCAE
Ce film qui remporta entre autres L’ours d’or à Berlin et un César nous présente À l'Adamant, centre de jour situé quai de la Rapée dans le 12e arrondissement de Paris matérialisé par une péniche qui des adultes souffrant de troubles psychiques.. Encadres par des soignants (composée de psychiatres, de psychologues, d'infirmières, d'ergothérapeutes, d'éducateurs spécialisés, de psychomotriciens, de personnel hospitalier et d'art-thérapeutes. )
Ils vivent en communauté et reçoivent pour une première fois une équipe de tournage sous la direction de Nicolas Philibert qui en assume la réalisation, le scénario et le montage

La singularité de ce reportage demeure dabs la non participation parlée de l’équipe à ne point poser de questions , ni d’intervenir dans le langage de ces patients volubiles qui racontent de façon censée du moins à leurs yeux de leur vécus , de leurs récriminations et de leurs demandes.

Cette approche qui n’est pas rappeler le documentaire d’antan sur la petite lucarne tel “5 colonnes à la une” où l’interviewer s’effaçait donnant une plus forte intensité au contenu , à la confession parfois et à certains témoignages tout irréels fussent-ils.IL en sort une vérité , un réalisme , une force à la déclaration

Le réalisateur n’intervient jamais donc , laissant la parole devenue souveraine dès lors aux acteurs sociaux médicaux que sont ces patients psychiques dont certains avouent ne pas s’en sortir sans les médicaments
L’osmose est forte , le voyeurisme est aussi absent que la critique et l’entente avec ces gens extérieurs est complète sans rejet ,ni révolte bien au contraire
Le réalisateur soulignera qu’il n’a pas fait un film à eux, avec eux mais un film grâce à eux.IL rejette tout effet de camera, et filme rien qu’en plan fixe. il se veut servile .réaliste et témoin objectif

Les moments sont forts comme cet artiste qui dit s’être fait vole sa personnalité par Wim Venders, un réalisateur allemand cette femme éloigné de son fils vu son état, cette autre ballerine professionnelle avide de créer une cellule de danse. D’autres participant à la gestion du centre, composent , cuisinent dévoilant un milieu éveillé , inventif et on ne peut plus vivant
Nous sortons estomaqués de ce regard inédit sur la psychiatrie , emballés par cette approche convaincante dont on sort de la projection avec des images mémorables qui nous renseignent un autre monde face à nous et pas toujours visible

Ce Premier opus d'un triptyque sur les unités intra hospitalières du pôle Paris sera suivi parAverroès & Rosa Parks, tourné à Charenton et parLa machine à écrire et autres sources de tracas), porte sur les visites à domicile effectuées chez les patients de l'Adamant