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RechercherDerniers commentairesmoi je trouve pierre fresnay extremement touchant dans le role de monsieur vincent je ne suis pas de votre avi
Par Anonyme, le 13.06.2013
très intéressant et très rare de lire sur monsieur vincent.hélas je l'ai vu il y a si longtemps que je ne sais
Par Eeguab, le 18.11.2012
dommage, les classiques ne sont plus diffusés à la télévision. ah... le cinéma de minuit...http: //drkaroloth.
Par drkaroloth, le 26.10.2012
bonjour, j'aime beaucoup ton blog , il et très joli blog, très sympa, et très accueillant surtout, plein de bo
Par robert87300, le 01.11.2011
un film bouleversant en marge des réalisations de blake edwards ( à qui le festival de deauville rend hommage
Par stubs, le 03.09.2011
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Dernière mise à jour :
06.11.2025
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L’INEXORABLE ENQUETE « SCANDAL SHEET » de Phil KARLSON 1952 USA
sortie Juin 2017 Sidonis Calysta (*)
Le cinéma américain fut brillant durant les années 50 dans 2 genres (polar et western) que l’on a baptisés mineurs et qui pourtant disaient des choses majeurs à visionner cette œuvre par exemple.
Mark Chapman, un célibataire (Broderick Crawford) directeur d’un grand journal est là pour faire monter les ventes et s’associe avec ses employés Steve McCleary (John Derek) et Biddle (Harry Morgan) pour y arriver. Pour cela, ce dernier traque tous les faits-divers joue avec le sordide et le malheur d’autrui ; ne respecte point la vie privée et exploite les témoins de drames se faisant passer pour des policiers s’il le faut au grand dam du Lt. Davis (James Millican).

Le sensationnalisme doit être la ligne directrice selon Chapman dont la maxime est « Les grands reporters fabriquent leurs affaires quand l’actualité chôme ». Il retrouve lors d’une soirée son ex-femme dont il est point divorcé et qui désire clamer tout fort son état matrimonial et sa véritable identité. Accidentellement lors d’une dispute il la tue et maquille cela en accident ; ce qui semblerait convenir comme explication à tout un chacun. Mais Steve McCleary découvre des indices qui poussent lui et la police à enquêter pour le plaisir du coupable qui voit le tirage du journalaccroître.

Dans cette histoire nous avons un portrait haut en couleurs de cet organe dévoilé comme peu respectable, antipathique et crapuleux en partie. Le film se défend de pas faire de généralité notamment avec cette femme actionnaire et cette journaliste qu’incarne Donna Reed, qui n’apprécie point Chapman et demeure l’amoureuse du protégé du patron Stève
La presse dans le cinéma de ce pays nous offrit des œuvres imposantes et accusatrices : « Bas les masques -Deadline USA » de Richard Brooks -- : « Le Grand Chantage (Sweet Smell of Success) » d'Alexander Mackendrick 1957— « Violence à Park Row (Park Row) » par Samuel Fuller 1952.—« 30 (ou) Deadline Midnight » (JackWebb) 1959.
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Phil Karlson très à l’aise dans ce genre nous avait gratifiés d’œuvres policières percutantes comme Kansas City Confidential 1952--99 River Street (1953) jou é par son acteur de prédilection John Payne et de westerns il est vrai inégaux : The Iroquois Trail (1950) --The Texas Rangers (1951) --They Rode West (1954) . il se montre très bon directeur d’acteurs notamment avec John Derek au talent pas toujours convaincant , avec Broderick Crawford qui lui nous avait persuadé du contraire depuis longtemps et Donna Reed qui n’a pas son pareil pour jouer les femmes révoltées.

Le roman "The Dark Page »est signé Samuel Fuller (1912–1997 )cinéaste connu et reconnu voire apprécié était un romancier bien avant son activité cinématographique et fut scénariste outre pour ses films, pour les autres (1943 : Margin for Error d’Otto Preminger-- 1948 : Jenny femme marquée (shockproof) de Douglas Sirk -- 1954 : La poursuite dura sept jours (The Command) de David Butler -- 1974 : L'Homme du clan (The Klansman) de Terence Young avec Lee Marvin qui dut son interprète pour Au-delà de la gloire (The Big Red One) 1980
(*) Présentation à 3 voix de Patrick Brion , François Guérif et Bertrand Tavernier