homme image monde divers film sur google france
RechercherDerniers commentairesmoi je trouve pierre fresnay extremement touchant dans le role de monsieur vincent je ne suis pas de votre avi
Par Anonyme, le 13.06.2013
très intéressant et très rare de lire sur monsieur vincent.hélas je l'ai vu il y a si longtemps que je ne sais
Par Eeguab, le 18.11.2012
dommage, les classiques ne sont plus diffusés à la télévision. ah... le cinéma de minuit...http: //drkaroloth.
Par drkaroloth, le 26.10.2012
bonjour, j'aime beaucoup ton blog , il et très joli blog, très sympa, et très accueillant surtout, plein de bo
Par robert87300, le 01.11.2011
un film bouleversant en marge des réalisations de blake edwards ( à qui le festival de deauville rend hommage
Par stubs, le 03.09.2011
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23.09.2025
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QUE DIOS NOS PERDONE de Rodrigo Sorogoyen Espagne 2016
QUE DIOS NOS PERDONEde Rodrigo Sorogoyen Espagne 2016
Ce film espagnol est une œuvre déroutante fu fait de son non affiliation au genre qu’elle propose. En effet ce film policier ne l’est que plus par son sujet que par son traitement en évitant notamment les clichés de poursuite et bagarres pour s’attarder sur le monde en ébullition qui entoure le fait divers proposé.
Celui-ci se résume sur l’enquête de 2 policiers sur une série de meurtres et de viols de grands-mères dans un Madrid en effervescence du fait de la venue du pape et de l’organisation des JMJ (Les Journées mondiales de la jeunesse). Donc la recherche du criminel doit-être discrète et sera même un moment donné retiré aux 2 flics aux personnalités antagonistes
L’un Luis Velarde (excellent Antonio de la Torre) est bègue, timide – encore que – et a des méthodes d’investigation originales pour ne pas dire déconcertantes : il s’alonge près des victimes pour tenter de voir les lieux telles qu’elles le voyaient. L’autre Javier Alfaro (Javier Alfaro) est impulsif, violent et direct
A ces personnages loin d’être archétypaux s’ajoute celui de l’assassin ; un être frustre engoncé dans la foi, prisonnier d’une vieille mère impotente qu’il chérit et protège. Ce trio pas si dissemblable offre un ton certes non inédit mais néanmoins prenant et une image d’une Espagne patriarcale catholique et violente
Le film reste un régal malgré sa non perfection et rappelle en moins pertinent le cinéma de Buñuel . Rodrigo Sorogoyen reste un cinéaste à suivre