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RechercherDerniers commentairesmoi je trouve pierre fresnay extremement touchant dans le role de monsieur vincent je ne suis pas de votre avi
Par Anonyme, le 13.06.2013
très intéressant et très rare de lire sur monsieur vincent.hélas je l'ai vu il y a si longtemps que je ne sais
Par Eeguab, le 18.11.2012
dommage, les classiques ne sont plus diffusés à la télévision. ah... le cinéma de minuit...http: //drkaroloth.
Par drkaroloth, le 26.10.2012
bonjour, j'aime beaucoup ton blog , il et très joli blog, très sympa, et très accueillant surtout, plein de bo
Par robert87300, le 01.11.2011
un film bouleversant en marge des réalisations de blake edwards ( à qui le festival de deauville rend hommage
Par stubs, le 03.09.2011
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Dernière mise à jour :
23.09.2025
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EN GUERRE de Stéphane BRIZE
« En guerre » est un film militant décrivant la réalité politico-sociale dans un combat de grévistes face à une entreprise qui veut arrêter sa production la jugeant assez peu rentable et dont la société encaisse avec ses filiales un énorme bénéfice. Cette action est menée par un délégué CGT -personnifié par Vincent Lindon-qui montre une ténacité face à l’adversité.
Stéphane Brizé son réalisateur qui en est à 4 films avec sa vedette décide pour accentuer le réalisme et donner un ton documentaire d’écrire peu de dialogues laissant place ainsi à une totale improvisation et de surcroit pour ne pont perdre une atmosphère de réduire le temps de tournage qui s’effectuât sur 23 jours
Il se sert de données sociales historiques citant syndicats (CGT et FO), télévisions dont l’une connue est considéré comme fouineuse et bavarde, cite les parties antagonistes pas toujours droits dans leur morale et cerise sur le gâteau entoure cela d’acteurs non professionnels
Il ne ménage ni le chou, ni la chèvre, décrit donc un syndicalisme actif et valeureux avec en aparté une réflexion sur l’engagement et ses revers, sur un monde capitaliste de plus en plus vorace tout en écornant aussi la partie voisine. La lutte a-t-elle un sens et la vie sans lutte est -elle sensée ?
Nous nous demandons si l’œuvre est dualiste, ou de parti pris ou démagogue voire complaisante ?
Toujours est -il que ce cinéma d’auteur demeure politique, dénonciateur et militant donc une arme pour le peuple et la démocratie