moi je trouve pierre fresnay extremement touchant dans le role de monsieur vincent je ne suis pas de votre avi
Par Anonyme, le 13.06.2013
très intéressant et très rare de lire sur monsieur vincent.hélas je l'ai vu il y a si longtemps que je ne sais
Par Eeguab, le 18.11.2012
dommage, les classiques ne sont plus diffusés à la télévision. ah... le cinéma de minuit...http: //drkaroloth.
Par drkaroloth, le 26.10.2012
bonjour, j'aime beaucoup ton blog , il et très joli blog, très sympa, et très accueillant surtout, plein de bo
Par robert87300, le 01.11.2011
un film bouleversant en marge des réalisations de blake edwards ( à qui le festival de deauville rend hommage
Par stubs, le 03.09.2011
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Date de création : 02.06.2008
Dernière mise à jour :
23.09.2025
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VIERGES de Keren Ben Rafael ISRAEL 2018
SortieJuillet 2018
Nous sommes dans un coin perdu, une station balnéaire où transitent une famille composée de la mère Irena ( Evgenia Dodina) qui flirte avec la maire du coin, de Tamar sa jeune fille et de Lana (Joy Rieger), )une adolescence vierge et rebelle qui rêve d’échapper à cet état. La mère tient un troquet vide de clients à part les 3 mêmes fidèles qui y passent leur journée en consommant peu.
L’arrivée d’un journaliste et l’annonce éminente de la venue par les mers d’une sirène vont sortir ce petit monde de sa torpeur
Il est de ces films dont nous attendons beaucoup et qui nous apporte peu. Le synopsis est attrayant mais gâché par un traitement inégal comme porté par des vagues avec ses flux et ses reflux. Pourtant il y avait des personnages intéressants, mais mal étoffés et pas toujours crédibles. Le film est plaisant parfumé d’humour et de légèreté, mais parfois laborieux dans sa démonstration annihilée par trop de pathos et le final sous une présentation lyrique n’arrange rien à l’affaire. Cela reste un bon téléfilm sympathique, point extraordinaire , ni emballant malgré son vouloir de séduction et d’universalité
Il demeure une interprétation solide avec la vivifiante Joy Rieger et l’exubérante Evgenia Dodina . Le cinéma israélien nous avait habitué à un cinéma plus engageant, plus pertinent que ce speudo conte vite oublié malgré son capital sincère