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RechercherDerniers commentairesmoi je trouve pierre fresnay extremement touchant dans le role de monsieur vincent je ne suis pas de votre avi
Par Anonyme, le 13.06.2013
très intéressant et très rare de lire sur monsieur vincent.hélas je l'ai vu il y a si longtemps que je ne sais
Par Eeguab, le 18.11.2012
dommage, les classiques ne sont plus diffusés à la télévision. ah... le cinéma de minuit...http: //drkaroloth.
Par drkaroloth, le 26.10.2012
bonjour, j'aime beaucoup ton blog , il et très joli blog, très sympa, et très accueillant surtout, plein de bo
Par robert87300, le 01.11.2011
un film bouleversant en marge des réalisations de blake edwards ( à qui le festival de deauville rend hommage
Par stubs, le 03.09.2011
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06.11.2025
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KHABI ALVIDA NAA KEHNA (Ne dis jamais adieu)) de Karan Johar 2006

Le cinéma indien est une industrie particulière et ô combien prolifique :1200 à 1600 films par an dont 20% représente « Bollywood »
La singularité de ce dernier le plus connu est sa filiation avec le cinéma américain, parenté qui au-delà de son nom se retrouve dans leur film dont beaucoup sont des remakes de leur modèle. Il en sort parfois des films brillants et trop souvent des niaiseries qui il faut l’avouer diminuent au fil des années, nous semble -t-il à une évolution sociale et à une ambition croissante malgré l’industrie qu’elle représente
RANI MUKHERJEE et SHAHRUKH KHAN
IL se base principalement sur des histoires d‘amour avec des scènes musicales, d’humour et des chansons ( jamais lancées par les acteurs mais par leur doublures vocales ) et la durée de chaque film avoisinaient les 3 heures. Quelques il s’aventurera dans des films historiques et dans des drames qui soulevaient des thèmes sociaux. Il faut comparer les cannées 80-90 à celles de nos jours pour mesurer la métamorphose
Preity Zinta & Shahrukh Khan

Ce cinéma produisit des blockbusters, des films ambitieux et possède outre ses cinéastes de circonstance, ces têtes d’affiches dont nous en retrouvons dans ce film signé par un réalisateur discret (7 films en 20 ans et un court métrage) Il fut plus actif comme producteur (plus de 40) et a signé un des films les plus rentables , le plus charismatique et un des plus réussisKabhi Khushi Kabhie Gham 2001 avec les stars suivantes : AMITABH BACHCHAN , SHAHRUKH KHAN et RANI MUKHERJEE que l’on retrouve e rôles principaux et KAJOL qui fait une apparition dans celui-ci dont elle devait avoir le rôle principal

Le film narre le destin de deux couples aux amours malheureux : Dev Saran (Shahrukh Khan), footballeur qui vit à New York avec sa femme Rhea (Preity Zinta)son fils et sa mère Kamaljit (Kiron Kher), le second est composé de Maya Talwar (Rani Mukerji) qui épousera Rishi Talwar (Abhishek Bachchan), le fils de Samarjit Singh (Amitabh Bachchan), son père adoptif.
Dev et Maya se rencontrent une première fois avant cette cérémonie et Dev est renversé par une voiture ce qui met fin à sa carrière sportive. Les 2 unions battent de l’aile et 4 ans plus tard Dev et Maya et un amour tout interdit fut-il, nait entre eux et de surcroit ces 4 malheureux vont se rencontrer quand Samarjit Singh se lie d‘amitié avec la mère de Dev
INVITES
KAJOL Arjun Rampal John Abraham



Le film est long d’autant que l’épilogue se devine comme l’arrivée du jour après la nuit ; ce qui devait se dire , s’expliquer voire se démontrer devait se faire en une heure et demie et se fait en 3 heures et ce n’est pas les chansons qui font passer la pilule malgré la première remarquable
Amitabh Bachchan et Abhishek Bachchan
(père et fils dans le film et dans la vie)

Le plus intéressant du film est de noter sa dénonciation du mariage arrangé, de montrer un adultère avec des scènes sensuelles nullement érotiques car cela est contre nature comme le baiser qu’aucun protagoniste n’échange pudeur oblige et vanter la deuxième et le retour aux mariages d’amour

Les comédiens n’ont rien à se reprocher ils ont tous une filmographie imposante ; même si nous trouvons Abhishek Bachchan et Preity Zinta moins imposants que leurs ainés . Le tout surtout avec son humour pas toujours fin reste regardable mais pas aussi inoubliable queKabhi Khushi Kabhie Gham...( 3h 30) et My Name Is Khan qui montrait d’un indien musulman atteint du syndrome d'Asperger désirant parler au président des États-Unis , ni New York masala (2003) qu’il co-produisit.
