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RechercherDerniers commentairesmoi je trouve pierre fresnay extremement touchant dans le role de monsieur vincent je ne suis pas de votre avi
Par Anonyme, le 13.06.2013
très intéressant et très rare de lire sur monsieur vincent.hélas je l'ai vu il y a si longtemps que je ne sais
Par Eeguab, le 18.11.2012
dommage, les classiques ne sont plus diffusés à la télévision. ah... le cinéma de minuit...http: //drkaroloth.
Par drkaroloth, le 26.10.2012
bonjour, j'aime beaucoup ton blog , il et très joli blog, très sympa, et très accueillant surtout, plein de bo
Par robert87300, le 01.11.2011
un film bouleversant en marge des réalisations de blake edwards ( à qui le festival de deauville rend hommage
Par stubs, le 03.09.2011
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Date de création : 02.06.2008
Dernière mise à jour :
23.09.2025
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À L'OMBRE DES POTENCES ( USA 1955) de Nicholas Ray
Fable humaine sur fond d'amour filial avec un James Cagney impeccable et une Vivéca Lindford étonnante baignant dans le drame humain d'un réalisateur qui fustige l'Homme et la société dont il est issu
L'ESCADRON NOIR 1940 de Raoul Walsh USA
Comment le cinéma manipule l'Histoire dans cette oeuvre hybride défendu par un trio d'acteurs reconnus (John Wayne--Claire Trevor--Walter Pidgeon) signé d'un cinéaste qui nous offrit déja plusieurs autres westerns mémorables : tous plus ou moins nimbés de psychanalyse
LES DESPERADOS de Charles Vidor 1943
Western bon enfant pour un public enfantin où comédie et drame ne font pas bon ménage ; même les bagarres semblent des parodies et l’humour une lourdeur via les pitreries de Guinn Williams . Ce mariage nuit à un film dont peu à peu on se détache et seul des cinéastes comme Ford - dont le frère figure comme juge -réussissaient ce mariage avec de nouveau la belle Claire Trévor inoubliable interprète de John Ford dans "La chevauchée fantastique 1939 et de Key Kargo 1948 de John Huston et les non moins charismatiques Randolph Scott et un Glenn Ford juvénile
TON HEURE A SONNE de Ray Enright 1948
Une énorme surprise sur pourtant une trame classique ( la vengeance d'un homme dont la fiancée est morte) notamment par sa mise en scène ingénieuse , son sens du cadrage et et son dynamisme et toujours à cheval l’infatigable Randolph Scott qui tournait plus vite que son ombre avec plus ou moins de bonheur.