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RechercherDerniers commentairesmoi je trouve pierre fresnay extremement touchant dans le role de monsieur vincent je ne suis pas de votre avi
Par Anonyme, le 13.06.2013
très intéressant et très rare de lire sur monsieur vincent.hélas je l'ai vu il y a si longtemps que je ne sais
Par Eeguab, le 18.11.2012
dommage, les classiques ne sont plus diffusés à la télévision. ah... le cinéma de minuit...http: //drkaroloth.
Par drkaroloth, le 26.10.2012
bonjour, j'aime beaucoup ton blog , il et très joli blog, très sympa, et très accueillant surtout, plein de bo
Par robert87300, le 01.11.2011
un film bouleversant en marge des réalisations de blake edwards ( à qui le festival de deauville rend hommage
Par stubs, le 03.09.2011
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23.09.2025
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SORTIE TÉLÉ: LA TOUR SOMBRE de Nikolaj Arcel USA 2017
LA TOUR SOMBRE(The Dark Tower)de Nikolaj Arcel USA 2017
Cette énième adaptation d’un roman du Sieur Stephen King laisse sur sa faim. Elle est sans grande émotion – ce qui est un comble car c’est l’essence même des écrits de cet auteur prolifique – elle joue plus sur le script que sur l’adaptation. Faut-il croire que celui-ci n’est pas assez riche pour subvenir à notre appétit ou que le serveur ( les réalisateur adaptateur Akiva Goldsman et producteur Ron Howard ) distribue mal les plats.
Ceux-ci ne sont point consistants ; la trame s’étire et finit comme une peau de chagrin ; le spectaculaire voire le visuel joue sur l’épate et les comédiens ne sont pas tous emballants notamment l’enfant. Où se trouve la dose émotive contenue dans Dead Zone (1983) -- Les Évadés (1994) – Misery (1990)-- La Ligne verte (1999)—Stand by me pour ne citer que les meilleures adaptations
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Celle-ci voit l’avenir d’un adolescent bousculé qui voit un autre monde bouger autour de lui et va y participer. Il se retrouve au centre d’un duel qui oppose Walter Padick, un être maléfique rongé par la vengeance et le pistolero Roland de Gilead venu sauver le monde. Ils auraient dû sauver le film qui s’engouffre dans la facilité et même orné de trucages, de belle photos et de décors géants n’émeut point le spectateur et le lasse par endroit malgré quelques bonnes scènes qui surnagent parmi les autres ridicules et ce n’est point un lyrisme et un pathos poussif qui vont le rendre attrayant.
Akiva Goldsman avait donné des scripts plus riches voire moins monotones notamment pour Joel Schumacher (1994 : Le Client (The Client)-- - 1995 : Batman Forever - 1996 : Le Droit de tuer ? (A Time to Kill) --et pour on Howard : 2001 : Un homme d'exception (A Beautiful Mind) -- 2005 : De l'ombre à la lumière (Cinderella Man) -- 2006 : Da Vinci Code (The Da Vinci Code). Il vient d’adapter un livre de King et pour paraphraser un autre pourvu qu’il est la main verte
Idris Elba est fort crédible et possède un personnage peut-être plus étoffé que celui de Matthew McConaughey qui pense que être vêtu de noir et faire les gros yeux suffisent à instaurer la peur ; ce grand comédien s’égare
Quant au réalisateur ; il semble avoir été étouffé par cette grande affaire qu’est la grosse production qui est souvent tout sauf le symbole du cinéma d’auteur