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RechercherDerniers commentairesmoi je trouve pierre fresnay extremement touchant dans le role de monsieur vincent je ne suis pas de votre avi
Par Anonyme, le 13.06.2013
très intéressant et très rare de lire sur monsieur vincent.hélas je l'ai vu il y a si longtemps que je ne sais
Par Eeguab, le 18.11.2012
dommage, les classiques ne sont plus diffusés à la télévision. ah... le cinéma de minuit...http: //drkaroloth.
Par drkaroloth, le 26.10.2012
bonjour, j'aime beaucoup ton blog , il et très joli blog, très sympa, et très accueillant surtout, plein de bo
Par robert87300, le 01.11.2011
un film bouleversant en marge des réalisations de blake edwards ( à qui le festival de deauville rend hommage
Par stubs, le 03.09.2011
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23.09.2025
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SORTIE TELE: DELITTO A PORTA ROMANA de Bruno Corbucci 1980
DELITTO A PORTA ROMANA de Bruno Corbucci 1980
Voilà la bêtise par excellence
Face au cinéma militant et intellectuel se profila un autre plus populaire,, plus démagogue et facile dans sa conception symbolisé aussi par le film d’horreur , le « Giallo » ( polar) , le péplum , le film d’aventures et un autre genre appelé « western spaghetti »
Ce mouvement loin d’être cérébrale eut sa notoriété, son public voire ses inconditionnels. Tout ne fut pas à jeter mais peu fut à garder.
Ce film fait partie d’une série réalisée par Bruno Corbucci et co-écrit avec Mario Amendola , regroupant en 11 films de 1976 à 1984 les aventures cocasses d’un flic singulier Nico Giraldi joué par Tomás Milián acteur d’origine cubain dont la voix est doublé par un autre et qui cabotine à tout vent
La trame est aussi simple que sont schématiques les personnages :Un voleur va se trouver témoin d’un crime sans connaître pour autant l’assassin. Le fameux policier dont la femme attend un enfant va se charger de l’affaire tout en accompagnant celle-ci
IL va se montrer le roi des pitres, malpoli et vulgaire et les scènes d’action ont autant d’intensité que celles de « La petite maison dans la prairie »
L’humour est au ras des pâquerettes, comme ce témoin planqué sous le lit où le coupable rend hommage à une femme mariée avant de l’occire
L’ensemble est vulgaire, sans intérêt cinématographique et lourdingue. A côté Les charlots paraissent géniaux et drôles car leurs gags furent plus recherchés
Du sieur Corbucci à lire sa production ; il donna rarement dans la nuance avec sa cinquantaine de films de tous les genres précités. Son frère Sergio Corbucci avait du plus de talent ne fusse que dans les westerns : Django (1966) que Tarentino immortalisera -- Le grand silence (1968)-- Il mercenario 1968 et Compañeros (1970) où précisément jouait Tomás Milián acteur extraordinair qui fut quémander par ce genre et par de grands cinéastes italiens (1) et étrangers (2) mais qui là fait le minimum syndical comme dans certains films où il eut la bride libre.
1) Pier Paolo Pasolini , Valerio Zurlini, Carlo Lizzani , Liliana Cavani, Michelangelo Antonioni , Bruce Beresford
2) Carol Reed , Yves Boisset, Claude Chabrol, Sydney Pollack, John Frankenheimer , Steven Spielberg , Steven Soderbergh , James Gray et Oliver Stone