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RechercherDerniers commentairesmoi je trouve pierre fresnay extremement touchant dans le role de monsieur vincent je ne suis pas de votre avi
Par Anonyme, le 13.06.2013
très intéressant et très rare de lire sur monsieur vincent.hélas je l'ai vu il y a si longtemps que je ne sais
Par Eeguab, le 18.11.2012
dommage, les classiques ne sont plus diffusés à la télévision. ah... le cinéma de minuit...http: //drkaroloth.
Par drkaroloth, le 26.10.2012
bonjour, j'aime beaucoup ton blog , il et très joli blog, très sympa, et très accueillant surtout, plein de bo
Par robert87300, le 01.11.2011
un film bouleversant en marge des réalisations de blake edwards ( à qui le festival de deauville rend hommage
Par stubs, le 03.09.2011
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Date de création : 02.06.2008
Dernière mise à jour :
23.09.2025
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Celui par qui le scandale arrive (Home from the Hill) 1960 de Vincente Minenlli USA
Ce cinéaste qui opéra dans les années 40-70 est réputé pour ses comédies musicales ( 1951 :Un Américain à Paris (An American in Paris -- 1954 :Brigadoon -- 1958 :Gigi) qui constituent la moitié de sa carrière et moins pour ses drames durant les années 50-60
Parmi eux se trouvent :Celui par qui le scandale arrive (Home from the Hill) en 1960 qui narre la vie d’un homme influent Wade Hunnicutt (Robert Mitchum ) coureur de jupons, marié et un enfant de 17 ans Theron (George Hamilton) quelque peu innocent et crédule dont il a convié l’éducation à son épouse Hannah (Eleanor Parker) dont il ne partage plus la couche et qui décide de prendre la relève quant à l’avenir de son garçon. Ce n’est point son seul enfant et il en a un autre adultérin Rafe (George Peppard) qui se trouve être son métayer. Les non-dits vont sortir et la tension déjà palpables’accroître.
Il y a des moments forts comme ce face à face d’un sanglier meurtrier et d’un Théron apeuré certes mais brave et celle où l’on découvre le cimetière des indigents « coin des parias où sont ceux qui ont soi-disant fautés» le lieu de repos de la mère de Rafe et qui rejoint la quête de l’Identité spirituelle et sociale des protagonistes c’est beau comme du John Ford
Harriet Frank Jr. Et son époux Irving Ravetch signèrent des adaptations de William Faulkner (Les feux de l'été Le bruit et la fureur 1959 & The Reivers 1969 et Les deux premières étaient pour Martin Ritt cinéaste avec qui ils vont collaborer souvent notamment pour 2 perles :Norma Rae etConrack ainsi que pourLe plus sauvage d'entre touset pourHombre
Par leurs répliques cinglantes, leurs dialogues directs et parfois osés ( les échanges sur le sexe sont bel et bien présents) un ton, qui éclaire les rapports humains de ces êtres désemparés, rejetés et incompris. Leur travail résiste 3 décennies après tant il est puissant
De plus la mise en scène de Minelli est dynamique et réaliste ; il sait montrer les moments de tension et ceux de tendresse. Desurcroît l’interprétation est juste , même si elle ne convient pas entièrement
Qu’est-ce qui fait que cette œuvre dont le traitement surprend encore de nos jours lors de sa sortie ne fit ni l’unanimité ni une grande reconnaissance ?