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RechercherDerniers commentairesmoi je trouve pierre fresnay extremement touchant dans le role de monsieur vincent je ne suis pas de votre avi
Par Anonyme, le 13.06.2013
très intéressant et très rare de lire sur monsieur vincent.hélas je l'ai vu il y a si longtemps que je ne sais
Par Eeguab, le 18.11.2012
dommage, les classiques ne sont plus diffusés à la télévision. ah... le cinéma de minuit...http: //drkaroloth.
Par drkaroloth, le 26.10.2012
bonjour, j'aime beaucoup ton blog , il et très joli blog, très sympa, et très accueillant surtout, plein de bo
Par robert87300, le 01.11.2011
un film bouleversant en marge des réalisations de blake edwards ( à qui le festival de deauville rend hommage
Par stubs, le 03.09.2011
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Documentaire : « Robert Mitchum, une star hors normes » par Jean-Claude Missiaen
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Voilà le type de western à moiti é raté d’autant plus que l’autre est assez prenante. Mais il manque singulièrement de clarté malgré un script solide même si déjà vu (1) et une interprétation solide. (2)
2 cowboys arrivent tour à tour dans une ville tenue en main par un redoutable homme d’affaires dont nous ne verrons qu’au final son visage. Le premier Ed Pinchot (Leo Gordon) est un sbire de ce dernier , l’autre moins effrayant et plus calme est Clint Tollinger (Robert Mitchum ) qui vient revoir son ex-amour Nelly Bain (Jan Sterling ) qui tient une maison de tolérance et avec qui il eut un enfant.
Il remarque un climat tendu avec comme symbole Jeff Castle (John Lupton) un propriétaire résistant, fiancé à la téméraire et effrontée Stella Atkins (Karen Sharpe) qui n’apprécie guère sa rébellion fusse-t-elle contre des vauriens
Tollinger est un nettoyeur souvent engagé par les notables face à l’impuissance de leur défense et à qui il rappellera de refuser toute tentative d’ingérence dans son travail. Il prend à cœur sa mission au grand dam de ses employeurs quelque peu réticent et démissionnaires par moment.
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Il est au centre du film de l’histoire et aussi de celle qui l’unit à Nelly et aussi à Stella dont il sent l’admiration excessive qu’elle lui porte. Et là le scénario gagne en finesse ce qu’il perd en réalisation car il approche l’interdit, le scandaleux tout comme le meurtre gratuit d’un chien et la révolte impulsive de Toller - il ira brûler sans préavis un saloon tenu par Lescaux (Ted de Corsia ) autre homme de main du méchant - face à des aveux dures à entendre concernant son histoire d’amour
Michaël Wilson qui a cosigné le scénario en fera un remake 1966 « le mercenaire de minuit » malheureusement moins riche malgré la présence de Yul Brynner et tout aussi dénonciateur d’une société qui préfère le totalitarisme à la rébellion ne fusse que pour raison pécuniaire . Le film est modeste mais d’autres qui le furent restèrent pertinents.
il y manque la patte d’un grand pour que celui-ci resta un chef d’œuvre ce n’est un grand film ; c’est plutôt une grande histoire habité par cet acteur hors normes qu’était Robert Mitchum.
(1 ) L’homme aux colt d’or 1959 de Edward Dmytryk avec Henry Fonda,
Le nettoyeur 1954 de George Marshall avec Audie Murphy
(2) outre les précités ajoutonsClaude Akins qui fut un méchant dans moult westerns des années 50-80 et Angie Dickinson qui le retrouvera dans un film qui la rendra célèbre ; Rio Bravo 1959 de Howard Hawks