société sur roman vie monde fantastique mort film image homme
RechercherDerniers commentairesmoi je trouve pierre fresnay extremement touchant dans le role de monsieur vincent je ne suis pas de votre avi
Par Anonyme, le 13.06.2013
très intéressant et très rare de lire sur monsieur vincent.hélas je l'ai vu il y a si longtemps que je ne sais
Par Eeguab, le 18.11.2012
dommage, les classiques ne sont plus diffusés à la télévision. ah... le cinéma de minuit...http: //drkaroloth.
Par drkaroloth, le 26.10.2012
bonjour, j'aime beaucoup ton blog , il et très joli blog, très sympa, et très accueillant surtout, plein de bo
Par robert87300, le 01.11.2011
un film bouleversant en marge des réalisations de blake edwards ( à qui le festival de deauville rend hommage
Par stubs, le 03.09.2011
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Dernière mise à jour :
23.09.2025
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DEN OSYNLIGE (l’invisible) de Joel Bergvall & Simon Sandquist SUEDE 2002
Le cinéma suédois ne demeure pas le plus prisé au monde surtout depuis que Bergman (1) n’est plus et de surcroit il s’adonna peu au polar. Ce film que nous pouvons traduire par l’invisible est étrange, singulier et sibyllin. Il mélange thriller et fantastique tout en dépeignant une réalité sociale.
Et celle-ci débute avec un repas familial à la santé d’un brillant élève Niklas le héros – et l’appellation ne sera pas usurpée-, préparé par sa mère l’hôte. Seulement ce dernier semble lointain du groupe dont pas un ne s’aperçoit de sa présence. Il n’est pas de ce monde mais plutôt de celui des aventuriers puisqu’il porte une casquette de commandant maritime. L’adolescent d’éloigne des convives, se restaure goulument de pâtisseries, puis prend une arme et le retourne contre lui.
Chapitre traumatisant que se clôt par un réveil brusque de l’intéressé qui s’affaire rapidement pour se rendre à son université où il est considéré non sans raison comme un excellent élève. Il doit affronter un chef de bande composé de 3 écervelés et de son leader une jeune felle Annelie. Celle-ci va outre martyriser un ami de Kiclas , s’en prendre violemment à lui., qui va devenir son ennemi et être battu à mort
Le lendemain de cette agression mortelle, ; Miklas se retrouve dans son école où personne ne le voit et le rêve macabre du début se révèle prémonitoire. Mais diable se demande l’intéressé pourquoi suis-je néanmoins témoin de mon quotidien sans que j’y puisse y participer Devant cet imbroglio le jeune prodige va tenter de comprendre le sens de sa nouvelle vie tandis que d’autres agressions surgissent contre son entourage.
Nous sommes devant une œuvre captivante qui fourmille de trouvailles scénaristiques et de coups de théâtre qui remettent en question l’entendement. Le script est tiré d’un roman que nous ne connaissons point et qui ne semble avoir été traduit en français (2) et superbement scénarisé par Mick Davis (3) qui met en scène des personnages en plein désarroi, se culpabilise, cherchent la rédemption ou restent des crétins finis. Il reste de cette œuvre hybridées des scènes poignantes comme celle où Niklas serre contre sa poitrine son propre corps ou celle où il sera question d’euthanasie
Les deux réalisateurs ne furent pas de trop : les plans sont judicieux ; ils intensifient une atmosphère sinistre et l’épilogue est angoissant avec ce repas joyeux et la mine patibulaire du héros malgré lui qui ne comprend pas cette agitation fébrile à son sujet ; lui le grand absent de ces festivités.
Peu de thrillers au sens propre du mot (4) nous parviennent à l’exception de celle-ci vue dans une chaine privée et qui vaille l’arrêt sur images.
(1) Ingmar Bergman cinéaste qui officia de 1946 à 2004 et eut une reconnaissance mondiale
(2) Roman de Mats Wahl
(3) Scénariste et réalisateur d’une biographie de Modiglianni avec Andy García et Elsa Zylberstein
(4) anglicisme, de l'anglais to thrill : « faire frémir »