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RechercherDerniers commentairesmoi je trouve pierre fresnay extremement touchant dans le role de monsieur vincent je ne suis pas de votre avi
Par Anonyme, le 13.06.2013
très intéressant et très rare de lire sur monsieur vincent.hélas je l'ai vu il y a si longtemps que je ne sais
Par Eeguab, le 18.11.2012
dommage, les classiques ne sont plus diffusés à la télévision. ah... le cinéma de minuit...http: //drkaroloth.
Par drkaroloth, le 26.10.2012
bonjour, j'aime beaucoup ton blog , il et très joli blog, très sympa, et très accueillant surtout, plein de bo
Par robert87300, le 01.11.2011
un film bouleversant en marge des réalisations de blake edwards ( à qui le festival de deauville rend hommage
Par stubs, le 03.09.2011
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23.09.2025
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PILOTE Série 20 -MES FUNERAILLES
Jarðarförin mín Finlande 2020
De Jón Gunnar Geirdal
Créée en 2020 cette série islandaise est un petit régal ne fusse que par son sujet : l’organisation de funérailles par le futur mourant. C’est feuilletonnesque à souhait avec des faux rebondissements et des moments hilarants
Notre héros est Benni un retraité ronchonneur, presque asocial , têtu et misanthrope qui côtoie Frigg son ex et Bjossi son fils avec qui les relations sont aussi lointaines
Benni apprend qu’il est atteint d’une grave tumeur au cerveau et que le traitement chimio plus opération laissent peu optimistes. Voilà que notre pensionné va prendre le mors aux dents décidant d’orchestrer ses propres funérailles et y assister au grand dam de sa famille peu heureuse et plus ou moins obligé d’y participer.
Un retraité atteint décide de ne pas laisser passer sa dernière chance : Cette minisérie islandaise douce-amère propose une réflexion touchante sur notre façon d’aborder notre propre mort et égratigne néanmoins les biens pensants la société conservatrice la religion non moins privative et une famille hypocrite à laquelle il fera front un imposant un refus net et précis d’aider un fils dépensier
L’action se déroule si j’ose dire sans temps mort, se montre amusante (une nuit de câlins dans l’église - mon dieu- avec un amour d’adolescence. L’ensemble est jouissif, c’est presque de l’humour anglais irrévérencieux et provocateur
Le film n’en est pas moins profond avec la mort cachée de son un enfant de 8 ans ; c’est plus un homme blessé que farfelu qui tente de corriger son image de père et d’époux lointain après ledit deuil. La fin n’en demeure pas moins avec son lot de comédie d’être grave et plus ou moins pessimiste
Cette série pimpante nous vient des pays scandinaves qui savent jouer avec l’absurde et le morbide, avec la tendresse et l’égocentrisme et arrive à nous arracher larmes et fous-rires