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RechercherDerniers commentairesmoi je trouve pierre fresnay extremement touchant dans le role de monsieur vincent je ne suis pas de votre avi
Par Anonyme, le 13.06.2013
très intéressant et très rare de lire sur monsieur vincent.hélas je l'ai vu il y a si longtemps que je ne sais
Par Eeguab, le 18.11.2012
dommage, les classiques ne sont plus diffusés à la télévision. ah... le cinéma de minuit...http: //drkaroloth.
Par drkaroloth, le 26.10.2012
bonjour, j'aime beaucoup ton blog , il et très joli blog, très sympa, et très accueillant surtout, plein de bo
Par robert87300, le 01.11.2011
un film bouleversant en marge des réalisations de blake edwards ( à qui le festival de deauville rend hommage
Par stubs, le 03.09.2011
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Blu-ray :
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Pendez-les haut et court (Hang 'Em High)
USA 1968 de Ted Post
Le titre fidèle à l’original porte une adjonction et déclare d’office le choix d’un monde moderne et modèle comprendre d’une société ivre de démocratie. Des lors cette œuvre se veut plus que ludique, ambitieuse et politique avec ce regard critique et dénonciateur omniprésent. Il allie Justice et vengeance, barbarie et civilisation
Donc le film commence par un lynchage en la personne de Jed Cooper (Clint Eastwood ) accusé de vol de bétail et de meurtre de la femme de son vendeur. L’accusé a beau se défendre et tenter de se justifier ; la sanction est sans appel et l’acte délictueux a lieu.
L’homme a deux doigts de périr est sauvé par un Marshal de passage : Dave Bliss (Ben Johnson ) qui le livre au représentant de la loi. Celle-ci est représentée aussi par le juge Adam Fenton (Pat Hingle) qui apprend que la victime un éleveur local est un ancien sheriff. Aussi décide -t-il de l’engager en tant que tel et sa première mission sera de ramener les lyncheurs. Jed Cooper accepte la tâche de ce travail oblong et traumatisant qui va installer la peur chez ces derniers (1)
L’ouvrage ne se fera pas sans violence :les coupables vont blesser à nouveau leur victime qui sera guéri avec l’aide d’une veuve Rachel Warren (Inger Stevens ) elle aussi obnubilée par la vengeance et qui n’aura de répit qu’en retrouvant l’assassin de son époux et Cooper s’affrontera avec le juge aussi zélé que lui
L’entreprise ne se veut pas simplement une distraction cinématographique, mais comme un brûlot contre l’auto justice et la justice toute légitime soit-elle. Elle va accompagner le mouvement de relecture qui allait habiter le cinéma américain. Les cinéastes décidèrent de montrer un Far-West moins idyllique et des êtres humains barbares (2) en deux mots relire l’Histoire
TED POST réalisateur attirant notamment pour son travail avec le superbe film de 1978 : Le Merdier (Go Tell the Spartans) réalise un film prenant (les scènes de la pendaison sont aussi impressionnantes que celle du début) offrant à ses 3 interprètes principaux des superbes rôles et nous offre un des meilleurs westerns de cette décennie qui accompagnait l’agonie du western (3)
1) La publicité de l’époque stipulait que « Ils (les agresseurs) avaient commis 2 fautes : pendre un innocent et de ne pas l’avoir achevé »
(2) Little Big Man (1970) de Arthur Penn --- Soldat bleu (1970) de Ralph Nelson --- John McCabe (1971) de Robert Altman --- Les Charognards (1971) de Don Medford --- Les Cow-boys (1972) ---
(3) celui-ci est mort vive le western nouveau
PS : une superbe musique de Dominic Frontiere