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RechercherDerniers commentairesmoi je trouve pierre fresnay extremement touchant dans le role de monsieur vincent je ne suis pas de votre avi
Par Anonyme, le 13.06.2013
très intéressant et très rare de lire sur monsieur vincent.hélas je l'ai vu il y a si longtemps que je ne sais
Par Eeguab, le 18.11.2012
dommage, les classiques ne sont plus diffusés à la télévision. ah... le cinéma de minuit...http: //drkaroloth.
Par drkaroloth, le 26.10.2012
bonjour, j'aime beaucoup ton blog , il et très joli blog, très sympa, et très accueillant surtout, plein de bo
Par robert87300, le 01.11.2011
un film bouleversant en marge des réalisations de blake edwards ( à qui le festival de deauville rend hommage
Par stubs, le 03.09.2011
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Dernière mise à jour :
23.09.2025
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OH ! QUE MAMBO par John Berry, 1959 France Italie
Voilà le film certes sympathique par le jeu des acteurs qui cabotinent tous mais d’une niaiserie incommensurable
La trame est simple comme les dialogues
Miguel qui a perdu son travail et sa femme plus ou moins lointaine se fait remarquer par des professionnels du music-hall qui l’engagent sous le nom de Dario Moreno et fait sa fortune qui a l’air la préoccupation première de sa moitié.
Quand nous pensons affligent, cela l’est : Le héros parle à son estomac qui lui répond et les séquences tarte à la crème sont répétitives et l’humour est au ras des pâquerettes
Que Diable est parti faire dans cette galère le talentueux John Berry qui suite au maccarthysme ( chasse aux sorcières communistes) dut s’exiler en France après nous avoir donné des films ambitieux et talentueux dont en 1951 :Menace dans la nuit (He Ran All the Way) avec John Garfield, Shelley Winters et Wallace Ford
Son entrée dans l’Hexagone se fit pare es films pour Eddie Constantine, qui restent ses meilleurs : 1955 :Ça va barder etJe suis un sentimental
Il nous reste de ce maigre film : les acteurs Jean Carmet à ses débuts en cambrioleur bègue ; Jean Poiret et Michel Serrault à qui surjoue le plus ; Alberto Sordi présent pour cause de coproduction qui se parodie et une Magali Noel tourte aussi belle qui s’est souvent perdu dans ses films avant de rencontrer Fellini qui immortalisera sa présence dans trois films :La dolce vita(1960),Satyricon(1969) et surtout Amarcord (1973)
Quant au sieur Dario Moreno ; il joue les grands chanteurs de romance latino-américaines et c’est ce qu’il fut : il accompagnera Jacques Brel sur scène pour des représentations de «L’homme de la Mancha» Il est des rôles plus marquants : 1952 :Le Salaire de la peur, d'Henri-Georges Clouzot -- 1957 :Œil pour œil, d'André Cayatte -- 1959 :La Femme et le Pantin, de Julien Duvivier-- 1968 :La Prisonnière, d'Henri-Georges Clouzot :