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RechercherDerniers commentairesmoi je trouve pierre fresnay extremement touchant dans le role de monsieur vincent je ne suis pas de votre avi
Par Anonyme, le 13.06.2013
très intéressant et très rare de lire sur monsieur vincent.hélas je l'ai vu il y a si longtemps que je ne sais
Par Eeguab, le 18.11.2012
dommage, les classiques ne sont plus diffusés à la télévision. ah... le cinéma de minuit...http: //drkaroloth.
Par drkaroloth, le 26.10.2012
bonjour, j'aime beaucoup ton blog , il et très joli blog, très sympa, et très accueillant surtout, plein de bo
Par robert87300, le 01.11.2011
un film bouleversant en marge des réalisations de blake edwards ( à qui le festival de deauville rend hommage
Par stubs, le 03.09.2011
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Dernière mise à jour :
23.09.2025
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MITRAILLETTE KELLY (Machine Gun Kelly) de Roger Corman 1959 USA
Sidonis Calysta SORTIE LE 16 février 2023
Contient :
Présentation par François Guérif (2022, 11’08”)
Documentaire « Le Monde de Corman, les exploits d’un rebelle à Hollywood » de Alex Stapleton (« Corman’s World: Exploits of a Hollywood Rebel », 2011, 86’20”, VOST (*)
Bande-annonce (2’03”, VF)
Les biographies de gangsters furent foison du parlant à nos jours (1). Elles furent sublimées montrant ces derniers comme des révoltés violents , presque des héros même si immoraux.
Corman changea quelque peu la donne , modifiant les conventions et tournant le dos aux images d’Epinal , avec ce portrait inspiré de la réalité de Kelly (Charles Bronson ) un malfrat qui doit son surnom à l’arme qu’il porte et qu’il brandit à tout vent.
Kelly a une petite amie Flo (Susan Cabot ) non moins vulgaire que lui , et qui a une forte influence. Celui-ci corrige des membres de son entourage peu serviles et pire même traitres. Il mettra sur pied le kidnapping d’un enfant qui sera son dernier méfait.
Donc au travers ce script classique se dresse le portrait d’un bandit pas si téméraire que cela et même pleutre, obnubilé par la mort et sur de lui. IL n’est pas toujours le chef sans sa mitraillette et notamment face à cette compagne maternelle qui le rabroue à chaque fois , le maltraite autant que lui le fait à son égard. Son arme est sa virilité qui sera contestée quelques fois.
Corman qui venait de tourner une vingtaine de films (2) que les pieds et les ombres des intervenants est une prouesse tout comme la suite de l’action filmée sans dialogue durant plus de six minutes et menées tambour battant. De pluis il analyse les rapports de ses personnages et non pas que le couple montré ici en perpétuelle guéguerre et ayant des rapports sadomasochistes.
Il gardera cette virulence avec les rapports tout aussi ambigus dans Bloody Mama en 1970.
La réalisateur est un spécimen qui faisait des films en 4 à è jours , les produisait souvent et laissant la caméra et parfois les scénarios à ses acteurs (Jack Nicholson-Peter fonda) et ses assistants (comme Martin Scorsese, Ron Howard, Francis Ford Coppola, Joe Dante, James Cameron, le critique Peter Bogdanovich ou encore Jonathan Demme. ) Il produisit plus de 500 films dont 400 sembles futiles et cerise sur le gâteau : il fit distribuer dans ses circuits qui passaient ses films à la mords-moi-le-nœud des cinéastes majeurs :Truffaut kurosawa-Bergman, Cronenberg . il faut lire son autobiographie du vétéran qu’il fut (3 ) et un des premiers livres qui lui fut consacré en France par Stephane Bourgoin en 1983 « Roger Corman »
(*) captivant documentaire qui relate presque tous ses films avec des interviews de Jack Nicholson-Peter fonda et ses assistants (comme Martin Scorsese, Ron Howard, Francis Ford Coppola, Joe Dante, Ron Howard, Bruce Dern de roger Corman e, de sa femme et des autres collaborateurs